La Guadalupe dépendence ou assitanat ?
Les Départements d’outre-mer sont victimes de l’assistanat. Leurs économies sont largement tournées vers la France métropolitaine. La production industriel est faible, la production locale n’arrive pas à répondre qu’à 6% des besoins de la population, en conséquence l’île doit importer produits alimentaires, industriels et énergétiques (le pétrole).
La guadalupe exporte sa production de bananes, de sucre, de rhum et des melons, principalement vers le marché francais.
Cependant, ces exportations sont sans commun mésure avec les importations, de plus ils sont freinées par l’éloignement et les coûts de transport important.
Cependant, ces exportations sont sans commun mésure avec les importations, de plus ils sont freinées par l’éloignement et les coûts de transport important.
Cette situation fait des Guadalupéens des Assistés dépendents.
La Réunion, île métissée:
Cet île porte bien son nom. Au fil de son histoire récente, des populations d'origine différente sont venues la peupler. Ces populations vivent apparement en harmonie, il n'y a pas de discrimination, le multiculturalisme fonctionne bien, malgrè quelques tensions.
Les Cafres, les esclaves noirs venus de la côte est de l'Afrique, de Madagascar et le l'archipel des Comores, ont été les premiers à être "broyé" dans le mortier réunionnais, à partir du XVII siècle. Puis il y a eu les travailleurs "engagés"-coolies, indiens, Africaines, Coomoriens, Malgaches-qui ont remplacé les esclaves: et les musulmans indiens du Gujarat et les Chinois de Canton qui ,avec leurs sens des affaires, ont rapidement pris une place importante au sein de l'économie et de la société reunionnaise, aux côtés de grands propiétaires fonciers blancs.
La Réunion, île métissée:
Cet île porte bien son nom. Au fil de son histoire récente, des populations d'origine différente sont venues la peupler. Ces populations vivent apparement en harmonie, il n'y a pas de discrimination, le multiculturalisme fonctionne bien, malgrè quelques tensions.
Les Cafres, les esclaves noirs venus de la côte est de l'Afrique, de Madagascar et le l'archipel des Comores, ont été les premiers à être "broyé" dans le mortier réunionnais, à partir du XVII siècle. Puis il y a eu les travailleurs "engagés"-coolies, indiens, Africaines, Coomoriens, Malgaches-qui ont remplacé les esclaves: et les musulmans indiens du Gujarat et les Chinois de Canton qui ,avec leurs sens des affaires, ont rapidement pris une place importante au sein de l'économie et de la société reunionnaise, aux côtés de grands propiétaires fonciers blancs.
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