lunes, 27 de junio de 2011

Ministère de l'Outre-mer.

Le ministère de l’Outre-Mer est le ministère du gouvernement français chargé d'assurer l'autorité de l'État dans les départements et Collectivités d'outre-mer et d'assurer la coordination des actions des ministères pour l'outre-mer.
Actuellement, c'est Claude Guéant qui occupe le poste de ministre de l'Intérieur, de l'Outre-mer et des Collectivités territoriales, et Marie-Luce Penchard, auparavant secrétaire d'État à l'Outre-mer du 23 juin 2009 au 5 novembre 2009, est ministre chargée de l'outre-mer depuis le 6 novembre



Le 12 janvier, au ministère de l'intérieur, de l'Outre-mer, des collectivités territoriales et de l'immigration, Frédéric Mitterrand, ministre de la Culture et de la Communication, Brice Hortefeux, ministre de l'Intérieur, de l'Outre-mer, des Collectivités Territoriales et de l'Immigration, Marie-Luce Penchard, ministre chargée de l'Outre-mer et Daniel Maximin, Commissaire chargé de l'année des Outre-mer français, ont présenté les manifestations qui vont marquer 2011, « année des Outre-mer ».

http://www.culture.gouv.fr/mcc/Actualites/A-la-une/2011-annee-des-Outre-mer

Histoire cronologique :
C'est Richelieu qui organise les premières formes d'administration centrale des colonies françaises de l'époque, ce qui donnera naissance en 1710 à un bureau des Colonies rattaché auprès du Secrétariat d'État à la Marine. Ce lien avec la Marine nationale se maintiendra pendant une grande partie du XIXe siècle en tant que direction au sein du ministère de la Marine.
Le ministère des Colonies n'apparaît pleinement et de manière autonome qu'à partir de 1894. Le but est de centraliser la gestion des colonies françaises. Il s'installe en 1910 dans l’hôtel de Montmorin, au n°27 de la rue Oudinot dans le 7e arrondissement à Paris, bâtiment qui sert encore aujourd'hui de siège au ministère (ou actuellement au secrétariat d'État) chargé de l'Outre-mer. Par métonymie, on le désigne d'ailleurs souvent par « hôtel Montmorin », « rue Oudinot » ou tout simplement « Oudinot ». Albert Lebrun y a été ministre des colonies trois ans, sous les gouvernements Caillaux, Poincaré et Doumergue, dans les années 1911-1914 avec le célèbre Joost van Vollenhoven comme chef de cabinet (on dirait aujourd'hui directeur de cabinet).
Au lendemain de la Libération, le Gouvernement provisoire de la République française souhaite changer de dénomination pour éviter la notion de suprématie de la métropole qu'implique le terme de « colonie » et crée un ministère de la France d'Outre-mer. la Martinique, la Guadeloupe, la Guyane et La Réunion sont départementalisées en 1946 et relèvent alors du ministère de l'Intérieur. La décolonisation restreint alors de plus en plus le pouvoir du ministère car les relations avec les pays nouvellement indépendants sont confiées au ministère de la Coopération. En 1959, le ministère prend la dénomination de ministère du Sahara et des Départements et Territoires d'Outre-mer. Il réintègre alors l'administration des DOM et prend en charge les départements d'Algérie. Les indépendances successives en 1960 des anciennes colonies africaines et la fin de la guerre d'Algérie en 1962 bouleversent l'organisation de ce ministère qui est rebaptisé « des Départements et Territoires d'outre-mer ». Le ministère va évoluer devenant successivement :

"Voeux à la France d'Outre-mer pour l' année 2001"


« Cette année [...] sera une année particulière puisque j'ai voulu qu'elle soit "l'Année des Outre-mer". Je souhaite que l'ensemble des Français s'approprient l'Outre-mer. Que chaque Français à la fin de l'année 2011 ait une vision plus réaliste de nos territoires. »






Les îles de l’outre-mer dépendantes, ouvertes, et metissées.


La Guadalupe dépendence ou assitanat ?

Les Départements d’outre-mer sont victimes de l’assistanat. Leurs économies sont  largement tournées vers la France métropolitaine. La production industriel est faible, la production locale n’arrive pas à répondre qu’à 6% des besoins de la population, en conséquence l’île doit importer produits alimentaires, industriels et énergétiques (le pétrole).
La guadalupe exporte sa production de bananes, de sucre, de rhum et des melons, principalement vers le marché francais.

Cependant, ces exportations sont sans commun mésure avec les importations, de plus ils sont freinées par l’éloignement et les coûts de transport important.
Cette situation fait des Guadalupéens des Assistés dépendents.









La Réunion, île métissée:
Cet île porte bien son nom. Au fil de son histoire récente, des populations d'origine différente sont venues la peupler. Ces populations vivent apparement en harmonie, il n'y a pas de discrimination, le multiculturalisme fonctionne bien, malgrè quelques tensions.


Les Cafres, les esclaves noirs venus de la côte est de l'Afrique, de Madagascar et le l'archipel des Comores, ont été les premiers à être "broyé" dans le mortier réunionnais, à partir du XVII siècle. Puis il y a eu les travailleurs "engagés"-coolies, indiens, Africaines, Coomoriens, Malgaches-qui ont remplacé les esclaves: et les musulmans indiens du Gujarat et les Chinois de Canton qui ,avec leurs sens des affaires, ont rapidement pris une place importante au sein de l'économie et de la société reunionnaise, aux côtés de grands propiétaires fonciers blancs.



Les créoles, des langues récentes:







Les créoles ont apparus entre le XVII siècle et le XVIII siècle,  pendant la colonisation. Ces langues naissent de la nécéssité de se comprendre entre différents groupes de populations n’ayant pas de langue commune puisque le maîtres  blancs ne parlaient que le francais et les esclaves noirs ne pratiquaient que leurs langues africaines. En revanche, la créolisation ne résulte pas d’un mélange de langues, mais à la fois d’un apprentissage non guidé du francais et de l’évolution historique de ces langues.




Les créoles sont des langues à part entière ! Elles sont désormais reconnu comme “Langues régionales”(utilisées dans la rue ou en famille) et cohabitent avec le francais qui demeure la langue officielle surtout dans l’enseignement.
 
Il n’existe pas un mais des créoles, selon les territoires. Il y a une bonne dizaine de créoles francais mais il ne sont pas intercompréhensibles.












L’Organisation International de la Francophonie cherche à rapprocher le francais et le créole dans l’enseignements.

Malgrè de nombreux efforts, notamment financiers, de la part des autorités, les résultats scolaires des jeunes insulaires, demeurent nettement inférieures à ceux de leurs concitoyens de métropole. Et ce, en grand partie, à cause d’ une mauvaise maîtrise de la langue francaise (indispensanble pour suivre les cours). Dans ces territoires l’enseignement du francais n’est pas adapté à des apprenants qui ont souvent le créole comme langue maternelle.
Pour rémedier à ce handicap linguistique la OIF met en place un programme qui propose une didactique adaptée à l’enseignement du francais en créolophonie en utilisant les éléments communs de créole et du francais. Par cette démarche on améliore et on accélère l’enseignement du francais, tout en valorisant le créole et en montrant sa relation génétique avec le francais. On apaise donc par là des conflits idéntitaires. Cette démarche indispensable de rapprochement  n’a-t-elle jamais été entreprise?
Non, selon le lingüiste Robert Chaudenson, les systemès éducatifs ont toujours fonctionné, jusque dans les années l980, sur trois principes:
*L’exclusion totale et systématique du créole hors de l’école
*La suprématie de l’écrit et surtout la recherche d’un mythique “francais
   pur”
*La chasse permanente aux créolismes surtout phonétiques, comme si les
 créolophones n’avaient pas le droit d’avoir un accent.
Ces démarches n’ont jamais aidé les créolophones dans l’apprentissage du francais, en revanche elles ont provoqué un sentiment de négation, de refus envers la langue imposée.

domingo, 26 de junio de 2011

Les terres de la France d’outre-mer, pour diverses et éparpillées qu’elles soient, ont en commun des caractéristiques géographiques mais aussi des marques historiques laissée par la période coloniale.

Un isolement marqué:

C’est-à-dire la grande distance de séparation  de ces terres par rapport à la métropole, avec laquelle les liens de dépendence sont très forts.

L’insularité se conjugue avec un grand émiettement, dispersion (îles qui forment des archipels). Ces facteurs naturels d’isolements sont accentués par une faible intégration régionale. La France d’outre-mer n’entretient que très peu de relations avec les pays voisins, heritage du système économique colonial qui attribuait un monopole commercial à la métropole.

La deuxième zone économique exclusive du monde

Les terres francaises d’outre-mer confèrent aussi à la France un immense domaine maritime. Les zones économiques exclusives (ZEE) francaises  couvrent ainsi plus de 10 millions de km2 dans l’Océan Atlantique, l’Océan Indien et l’Océan Pacifique. La France se situe ainsi au deuxième rang mondial après les Etats-Unis. Le droit de exploration et d’explotation des ressources naturelles  de ZEE (biologiques ou non, du fond de la mer, de son sous.sol et des eaux suriacentes) en fait une source de richesse.
Des climats difficiles et des risques naturels importants
La plupart des terres ultramarines sont soumises  à des climats difficiles. La plupart situées dans des zones tropicales ou équatoriales, sont exposées a des risques naturels, cycloniques,sismiques ou volcaniques..
Une démographie dynamique et une urbanisation croissante.
De nos jours, les sociétés ultramarines francaises ont connu une croissance démographique spectaculaire par contre la part de DOM a baissé. Ce recul s’explique à la fois par un solde naturelle plus faible et par de nombreux départs des DOM vers la métropole.
L’explosion urbaine s’est surtout focalisée sur la ville principale au détriment des villes secondaires. L’importance de la relation à  la métropole et cellle des administrations, ont engendré, dans chaque collectivité ultra-marine, une polarisation très forte et sans cesse croissante du chef lieu sur le territoire sous son autorité.
La forte immigration,  est devenue un nouveau défi pour l’outre-mer. Elle inquiète de plus en plus les ultramarins, en particulier à Mayotte, qui est davantage victime de l’immigration clandestine.
L’empreinte de l’histoire coloniale
Ces anciennes terres d’esclavage aux populations metissées, restent encore largement tournées, sur le plan économique, vers la métropole.
La situation actuelle est le résultat d’une exploitation coloniale orientée vers la métropole.
Au fondement, d’une économie dependante, il y avait le principe de l’Exclusif ou Pacte colonial qui interdisait aux colonies toute relation commerciale avec l’étranger, et en laissant à la métropole le monopole.

Un développement encore fragile.

Soumises à un ensemble de contraintes naturelles et historiques, ces économies ultramarines sont aujourd’hui en crise, malgrè la mise en oeuvre d’outils d’intervention spécifiques.
De nos jours la france d’outre-mer paraît jouir d’une relative prospérité et opulance.
Mais cette prospérité est largement due aux très importantes aides dont l’outre-mer est destinataire.
L’ accroissement qui apparaît avec la multiplication des hypermarchés est largement faux, car il repose presque entièrement sur les transferts de l’Etat et de l’Union européenne sous forme d’aides diverses, de prestations sociales ou de salaires artificiellement élevés. Pris dans le cercle vicieux de l’assistanat, l’Etat ne peut qu’augmenter ses transferts vers l’outre-mer et accorder de nouvelles diminutions fiscaux pour apaiser le climat social et donner l’illusion que les affaires continuent de tourner.
Une situation de dépendance économique:
Ces désavantages géographiques ou climatiques génèrent des coûts d’exploitation très lourds et une compétitivité faible. C’est pourquoi la stratégie économique à l’égard de ces collectivités a longtemps été fondée sur la seule compensation des handicaps liés à la distance et à l’insularité
Malgrè la distance, la mayorité des  échanges commerciaux des collectivités territoriales d’outre-mer se fait aujourd’hui encore avec la méropole: celle-ci réprésente 60%  des échanges extérieurs des départements d’outre-mer.







Les économies ultra-marines reposent sur un nombre réduit des secteurs économiques:
L’agriculture et  le tourisme réprésentent des sources  déterminantes, puis le secteur du bâtiment  et en complément, il faut rappeler le poids prépondérant de secteurs économiques spécifiques comme le nickel en Nouvelle Calédonie ou l’industrie spatiale en Guyane.

Retrouvez en ligne: "2011, l'Année des Outre-mer" sur le site du Ministère chargé des Outre-mer.

Des difficultés sociales
La persistance de ces déséquilibres économiques a un effet direct sur les conditions de vie des populations des outre-mer.
Le niveau de vie y demeure globalement inférieur à celui de la métropole.
Le niveau de chômage reste très élevé. Cette situation s’explique en partie par le décalage entre une croissance économique forte et une évolution démographique plus rapide encore.
Dans ces conditions, la dégradation du pouvoir d’achat est, pour les populations des outre-mer, un sujet particulièrement sensible. Celles-ci touchent de revenus plus bas et supportent des prix plus élevés qu’en métropole.


Pour aller plus loin


Découvrez la France d’outre-mer en visitant mon blog !! L'invitation au voyage est lancée, pourrez-vous y résister?

La France d'outre-mer, souvent désignée par l'abréviation DOM-TOM permet de désigner collectivement l'ensemble des territoires sous souvéraneité française situées hors du continent européen.
L’abréviation DOM-TOM signifie Départements d'Outre-Mer - Territoire d'Outre-Mer. Cette expression d'usage courant semble la seule utilisée pour synthétiser la variété des statuts juridiques de ces terres, bien que, depuis la réforme du cadre constitutionnelle de 2003, cette appellation  a été redéfinie par DROM-COM pour Départements et Régions d'Outre-Mer - Collectivités d'Outre-Mer, même si chaque COM utilise sa propre dénomination.  []
Les départements et les régions d’outre-mer (Guadalupe, Guyane, Martinique, Réunion)
Les collectivités d’outre-mer (Mayotte, Polynésie francaise, Saint-barthélemy, Saint-Martn, Saint Pierre-et-Miquelon, Wallis-et-Futuna).
Restent à l’écart de cette classification les deux territoires suivants, qui possèdent chacun des particularités: (La Nouvelle-Calédonie et les Terres australes et antartiques francaises TAAF)

Tout en ressemblant l’ensemble des collectivités ultramarines autour de deux régimes législatifs (identité ou spécialité), le nouveau cadre constitutionel permet une évolution vers des status “sur mesure”.

 

 Bienvenue à la France de trois océans, le voyage commence ...
Partir pour l'outre-mer, c'est partir à la découverte d'un autre visage de la France, celui des îles et des terres tropicales.
Contrastes de climat, de faune et de flore...
Rencontres des traditions locales et de la culture européenne...


 La Guadeloupe est un département français d’Outre-Mer(DROM), depuis la loi du 19 mars 1946.

La Guadalupe, île principale de l’archipel, est divisée en 2 par un bras de mer, la rivière salée.

La partie ouest de l’île, appelée « Basse-Terre » est le paradis vert où les plus aventureux découvriront 17 ha de fôret tropicale.

 

 

 

De l’autre côté « Grande-terre » est le véritable centre de vie de l’archipel.

 

Terre préservée, l’archipel abrite 4 réserves naturelles, qui révélerons au fil des 300 km de sentiers de randonnée, cascades, rivières et fleurs tropicales que cache une fôret luxuriantes dominnée notamment par le volcan de la Soufrière.

 

La beauté de ces îles, c’est aussi la richesse de la culture créole : traditions folkloriques hautes en couleurs, farandoles enflammées du carnaval, saveurs épicées de la cuisine des Caraibes et métissage musical. Cet archipel, c’est le plaisir de tous les sens...´










Enivrés par toutes ces couleurs, laissez-vous aller au farniente sur les inmenses plages de sable blanc aux eaux limpides.

 Maison de la France-franceguide.com

 

 

 

 

 

 

La Nouvelle Calédonie « Terre Originelle »  est un pays d’outre mer (POM).

Le plus grand lagon du monde, les plus grand nombre d’espèces végétales du Pacifique, l’une de plus riches fôrets tropicales du monde...

Cette terre de contrastes, regroupant la grande terre, les îles Loyautés, L’île de Pins, les Bélep et une myriade d’îlots, ne connaît rien d’autre que l’exeptionnel.


La démesure de la Grande Terre réside dans la multiplicité de ses paysages naturels, la beauté des ses étendues sauvages, et l’étonnante richesse que génèrent ses deux côtes, à la nature préservée.

Nouméa est devenue une capitale de charme aux larges baies rieuses, vitrine francaise du Pacifique Sud : une ville-jardin où l’urbanisme et la nature vivent en harmonie.


Incontournable, L’île des Pins est un lieu intemporel, bordé de sable blanc et d’eaux cristallines qui lui ont valu la réputation d’éden océanien.





 

Etonnante rencontre de la culture Kanac millénaire, d’Europe contemporaine, d’Asie et de sociétés du Pacifique hautes en couleurs, la Nouvelle Calédonie reflète dans ses visages l’extraordinaire diversité de sa population.


 

Wallis et Futuna « Des îles hors du commun »(COM)

Situées dans l’Océanie polynésienne, entre les îles Fidji à l’ouest, les îles Samoa à l’est et les îles Tonga au sud-est, elles restent définitivement à part. Saviez-vous que ce sont de véritables royaumes dans la république ? En effet, Uvea, Alo et Sigave sont trois royaumes gouvernés par trois rois.

   Sur ces îles, l’art est une affaire de femmes, seules leurs mains expertes connaissent les secrets de ce savoir-faire séculaire. Les plus beaux témoignages de cette tradition artistique millénaire sont sans conteste les « tapas » panneaux d’écorce ornés de peintures végétales, les sculptures et le colliers de coquillages.

 
Superbe aussi, la vegetation offre un mélange incroyable d’arbres à pain, de cocotiers, manguiers, papayers... tout au long des chemins qui vous conduiront vers des paysages naturels  enchanteurs ou des sites historiques surprenants.




Les Terres Australes et Antarctiques francaises (TAAF)

 « La beauté du vent »

Le territoire des Terres australes et antarctiques francaises c’est, d’une part, trois archipels : Crozet, Kerguelen , Saint-Paul et Amsterdam dans l’extrême sud de l’Océan Indien et,  d’autre part, en Antarctique une portion de continent : la Terre Adélie (qui ne se visite pas).



La porté d’entrée est située à la Réunion où est implanté le siège du Territoire avec une voie d’accès uniquement maritime : C’est la seule partie du territoire francais qui n’est desservie que par bateau.
On peut embarquer sur un navire exceptionnel, propiété du Territoire, Le Marion Dufresne, à la fois cargo, paquebot, pétrolier et navire scientifique.

 Cet embarquement est possible quatre fois dans l’année lors de rotations de relève des personnels et de ravitaillement, trois pendant l’été austral (novembre, décembre, et mars/avril), une pendant l’hiver (en août/septembre).

À chaque rotation, une quinzaine de touristes et leur guide découvrent une faune unique par son abondance et sa diversité (albatros, pétrels, manchots, otaries, éléphants de mer, ...par milliers) des paysages bruts-des îles volcaniques refaconnées par la hache du vent et les ciseaux de la pluie et de la neige- des lumières incomparables qui allient la somptuosité des couchers de soleil tropicaux, la dureté des lumières glaciares et, quelquefois, les aurores septentrionales